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En attendant les
nouveautÈs annoncÈes dans les grosses cylindrÈes,
lÃessai du nouveau gox est lÃoccasion de faire le point sur ce
qui est proposÈ dans la gamme des 250cc.
Les 250cc sont les buggies
les plus vendus, pourtant nous assistons ‡ lÃheure actuelle
‡ un net flÈchissement des ventes dans cette catÈgorie.
La fiabilitÈ dÈfaillante de la plupart des machines
chinoises dÈcourage les amateurs pourtant nombreux. Ceux-ci
attendent peut-Ãtre des produits plus adaptÈs au marchÈ
europÈen ? QuoiquÃil en soit, nous nous tournons vers
Booxt pour nous demander : A lÃEst, Quoi de nouveau ?
Encore un buggy chinois !
La perspective de retourner ‡ Troyes pour essayer le 250
inÈdit de Booxt nous engage naturellement ‡ nous poser
la question suivante : quÃest ce qui diffÈrencie
un buggy asiatique dÃun autre buggy chinois ?
Il faut reconnaÓtre
que les engins existants partagent un certain nombre de
caractÈristiques. Leurs moteurs tout dÃabord : la
plupart sont ÈquipÈs avec le moteur montÈ sur ce
Gox : un 250cc fabriquÈ sous licence Honda. Pourtant,
malgrÈ une forte propension au copiage, force est de
reconnaÓtre que chaque buggy possËde un caractËre
propre que lui confËrent les choix techniques retenus, les
matÈriaux utilisÈs, et le montage final.
Visiblement le parti pris
pour ce qui concerne lÃusine JINFENG cÃest la dimension. Tout
paraÓt surdimensionnÈ ! Amortisseurs, bras de
suspension, Ètriers de freins et disques, trianglesÖEn fait
le 250 partage beaucoup de pÈriphÈriques avec son grand
frËre le Gox 650. Cela prÈjuge dÃune soliditÈ
rassurante concernant un certain nombre de piËces. Pourtant,
la conception, ainsi que le montage de certains ÈlÈments,
nous laissent trËs dubitatifsÖ
Quels sont les choix
retenus pour cette machine et quÃa-t-elle de particulier ?
Autant de questions
intÈressantes, sinon primordiales, quÃil faudra se poser
alors que nous approchons de la bÃte.
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